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Qu’est-ce que la traduction ? Ce livre s’intéresse à la traduction politique et aux politiques de la traduction, c’est-à-dire à toute négociation et transformation d’un plan à un autre, d’une matière vers une autre, d’un medium en un autre, de la pensée en paroles, d’un sens en un tout autre sens. Partant de l’idée que la traduction, au delà de la langue, est en tout cas un rapport entre deux ou plusieurs termes qu’elle négocie ou trafique, et qu’elle est toujours à l’œuvre si elle n’est pas bloquée par un arrêt du partage de la raison ou par la dépolitisation et la désémantisation, ce livre propose des expériences et exemples, incertains par définition, de traduction politique. La traduction est en effet un opérateur politique majeur et aussi un diverticule de sens (sens et politique pourtant jamais garantis !) à condition de se laisser exposer à l’altérité. Elle passe par l’exposition à l’autre, elle est métamorphose et parfois métempsychose. Les tentatives, ici ébauchées, qui sont autant de conversions ou même de diversions comme autant d’exemples sous emprise, concernent la guerre, la sexualité, la nation, l’Etat, la modernité, l’Asie, la langue, la justice cognitive, l’écriture, la politique, la violence, les enjeux philosophiques, le statut du soi, les réfugié-e-s comme condition humaine.
En 1952, Frantz Fanon concluait son célèbre Peau noire, masques blancs, par cette phrase : « O mon corps, fais de moi toujours un homme qui interroge » [1]. Dans cette ultime prière, le psychiatre martiniquais engagé auprès des mouvements anti-coloniaux algériens plaça le corps au cœur d’une politique de la relation. Par cette phrase, il invitait tout un chacun à interroger le monde à partir de l’expérience du corps en situation coloniale. Fanon proposait de (...)
Sous la direction de
Pauline Vermeren & Malcom Ferdinand
février 2018
Pour tenter de rendre compte des mesures qu’adoptèrent les autorités françaises (pouvoirs politiques et militaires) vis-à-vis des Tsiganes pendant la Grande Guerre et de la façon dont ceux-ci réagirent, il convient d’introduire une distinction à propos des situations auxquelles furent confrontés, au sein des communautés tsiganes, trois « groupes » désignés administrativement sous les termes suivants : les nomades français, les nomades étrangers et les (...)
février 2017
Depuis plus d’un siècle, les camps se sont imposés comme réponses unanimes des États et organisations internationales à des crises politiques, sociales et environnementales, qu’importe le contexte de leur avènement. La répétition dans le temps et dans l’espace de ces emplacements, dont les formes peuvent varier - allant de camps de réfugiés à camps de déplacés en passant par zones de transit et centres de rétention - donne en effet à voir comment ces derniers sont (...)
octobre 2018
Ce travail a pour objet le rôle que jouent des groupes LGBTI de soutien aux demandeur-se-s d’asile qui fondent leur requête sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre dans le dispositif d’accueil et de régulation des demandeur-se-s d’asile en Italie. Si d’un côté le dispositif d’accueil discrimine et ignore les demandeur-se-s issue-s des minorités sexuelles, de l’autre côté la communauté LGBTI n’est pas inclusive à l’égard des personnes LGBTI migrantes et (...)
octobre 2018
Dans l’espace médiatique, les adoptés font l’objet d’assignation de l’identité par les parents adoptifs, les organismes de l’adoption et plus largement par l’entourage familial et scolaire. Eux-mêmes, en tant qu’individus forgent leur identité par interactions avec d’autres individus et avec le groupe dans lequel ils sont socialisés. Parce que le débat sur l’adoption internationale est divisé entre différentes positions morales, ces assignations et représentations (...)
mai 2019
Ce mémoire de recherche appréhende les enjeux du processus de construction et d’évolution de l’action publique menée en direction des mineurs isolés étrangers en France à travers la mise en place de la circulaire interministérielle du 31 mai 2013. Relative au dispositif national de mise à l’abri, d’évaluation et d’orientation des jeunes isolés étrangers, cette circulaire s’inscrit dans une prise en compte progressive de ce phénomène migratoire. A partir d’une enquête (...)
juillet 2020
« L’ENA n’entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans ce mémoire : elles doivent être considérées comme propres à leur auteur. » Alors qu’en France les enseignements de langue et culture d’origine (Elco) sont supprimés et remplacés par les EILE (enseignements internationaux de langue étrangère) lors de la rentrée 2020, en Allemagne, les Länder, responsables pour le domaine d’éducation, discutent d’élargir leurs dispositifs équivalents de (...)
mars 2021
Aperçu des usages historiques et des tentatives de définitions critiques
La notion de persécution est au cœur de la définition du réfugié dans le droit international contemporain. Elle est au centre des enjeux des politiques migratoires et d’asile. L’enjeu est d’autant plus crucial que c’est un outil juridique qui peut avoir des conséquences tangibles sur l’existence de certains individus. D’emblée, il apparaît qu’une tension inhérente s’attache à cette notion car, comme toute norme juridique, la notion de persécution doit être appliquée (...)
mai 2017
Anthologie commentée (1913-2012)
Un spectre hante la recherche en éducation : le spectre de l’industrialisation. Depuis le début du XXe siècle en Amérique du nord et en Europe, le recours à des méthodes et moyens industriels pour enseigner, apprendre et administrer le système éducatif suscite autant d’enthousiasme que d’anathèmes. Les expériences font l’objet d’un nombre croissant d’études et de recherches. Mais leurs acquis se perdent au fur et à mesure. Le but de cette anthologie est d’en restituer (...)
janvier 2017
in Lauréline Fontaine (coordinatrice), Lire les Constitutions, pp. 91-110
Si la Constitution sert à définir et à encadrer juridiquement l’ordre politique, à garantir la citoyenneté, nous voyons qu’aujourd’hui, alors que les souverainetés nationales sont de plus en plus réduites face au capitalisme néolibéral transnational et absolu, qu’elles ont changé de fonctionnalité, qu’en Europe elles sont soumises à la construction européenne dans l’UE et alors que la citoyenneté prend de plus en plus la forme de la nationalité, des segments de nos (...)
juillet 2019
« Industrialiser l’éducation » est une anthologie commentée dirigée par Pierre Moeglin et co-rédigée par 22 chercheurs ayant participé au Séminaire Industrialisation de la Formation (Sif). Cet ouvrage permet de découvrir une sélection de 21 auteurs ayant structuré le paradigme de l’industrialisation de l’éducation depuis le début du XXème siècle. Chaque auteur présenté est resitué dans son contexte permettant ainsi la mise en évidence des liens entre la recherche et la (...)
avril 2017
Dans son ouvrage Miroirs anthropologiques et changement urbain, l’anthropologue Barbara Morovich nous livre une analyse subtile, à la fois épistémologique, méthodologique, ethnographique et engagée sur la question de la rénovation urbaine des quartiers populaires. Par ces différents positionnements sur un même sujet, l’auteure nous en apprend autant sur la question de l’anthropologie urbaine, que sur les jeux de positionnement de l’anthropologue sur son (...)
août 2018
Voici, de la plume du politologue Ranabir Samaddar, un livre nécessaire et salutaire pour les lecteurs européens, qu’ils ont intérêt à lire. L’idée d’étudier et de relier par un biais postcolonial stratégique et non-idéologique la relation entre la crise dite migratoire en Europe et la crise financière presque contemporaine (véritablement, le destin de la Grèce) est une idée brillante. Il faut croire qu’il aura fallu un regard décentré, un regard de biais et de (...)
août 2018
Voici un livre qui explore une reconstruction possible de l’épistémologie en vigueur, à la recherche des savoirs alternatifs. Comme beaucoup d’entre nous, Ann Laura Stoler s’intéresse à l’accès aux savoirs construits autrement, en dehors des valeurs de domination affirmées par le capitalisme néo-impérialiste ambiant. Il s’agit d’un livre qui constitue politiquement et philosophiquement son objet à partir d’un matériau anthropologique et historique. L’objet construit (...)
août 2018
Cet ouvrage interroge la politisation/dépolitisation des organisations de femmes et féministes en contexte de mondialisation. Il explore des pistes africaines et en particulier l’Afrique du Sud et le Sénégal. Dépassant les notions de néolibéralisme et de « fracture numérique de genre », l’auteure s’intéresse, à travers les usages des TIC par lesdites organisations, aux facteurs de l’inhibition ou de la genèse de l’action politique et plus particulièrement aux (...)
août 2018
Programme hébergé par Terra-HN (2016/...) : "Humanisme, éducation, technologie et faits sociaux ”
L’orientation générale de ce programme vise à s’intéresser à la façon dont sont prises en compte de les dimensions humaines et environnementales dans l’évolution des process éducationnels, culturels et sociétaux. Omniprésente de nos jours, la dimension technologique (informatique, réseaux, artefacts…) peut aussi trouver la place qui est la sienne dans les problématiques abordées. Il s’agira par exemple d’étudier et de trouver des moyens d’agir face aux « défis sociétaux » qu’encouragent à relever certains textes d’orientation officiels, comme les « Sociétés innovantes, intégrantes et adaptatives », ou encore la « Société de l’information et de la communication », en les replaçant dans un contexte avant tout humain et écologique.
Programme hébergé par Terra-HN (2016/...) : "Données personnelles et société ”
L’étude de la protection des données à caractère personnel s’est historiquement constituée comme un champ académique à la croisée du droit, de l’informatique, dans une moindre mesure de l’économie et plus tardivement de la science politique. Le haut niveau de technicité du droit des données personnelles le rend difficile d’accès, et limite le champ académique lui étant dédié au sein des SHS. Le projet “Données personnelles et société” veut fournir aux chercheurs et chercheuses étudiant les données personnelles dans leur contexte social une plate-forme d’échange et de diffusion de leurs recherches.
Programme hébergé par Terra-HN (2016/...) : "Non-lieux de l’exil"
Fondé en septembre 2011 par Alexandra Galitzine-Loumpet et Alexis Nuselovici (Nouss), dans la suite des travaux menés par POexil (Université de Montréal), le programme Non-lieux de l’exil réunit des chercheurs issus de différents champs disciplinaires. Son objectif est d’étudier les diverses formes de l’expérience exilique (l’exiliance) en postulant l’existence d’un noyau existentiel commun, d’Ulysse à l’exilé de Calais et d’approfondir les recherches sur la migration en orientant davantage les perspectives vers l’articulation entre identité individuelle et détermination collective, culture d’origine et culture d’accueil, inscription communautaire et inscription nationale. Plus qu’une pensée de l’espace, le programme s’attache à travailler les temporalités superposées de l’exil et à penser l’articulation entre l’ici et l’ailleurs, le réel et les imaginaires.
Le réseau scientifique TERRA, depuis 2003, a développé les recherches en "humanités", au sens moderne (arts, lettres, sciences humaines et sociales), sur le domaine des migrations forcées, des réfugiés, du droit de l’asile, de la vie en exil, de la place des étrangers dans la société... et, par suite, des rapports culturels à l’altérité, des problématiques dites de race, de classe, de genre, d’âge et autres conditions ou "identités" sociales (réelles, perçues ou imputées), ainsi que sur les sujets se situant à l’intersection de ces problématiques, les formes de rejet et de domination symbolique et politique ainsi que les inégalités et les politiques de mise à l’écart qui en résultent.
Le domaine de recherche inclut dès l’origine les enjeux épistémologiques, méthodologiques et communicationnels relatifs à la production et à la diffusion des savoirs scientifiques, notamment ceux liés au numérique ainsi qu’à la publication en accès libre des travaux scientifique. Cette perspective rejoint par certains aspects, celle qui s’est intitulée beaucoup plus tard, dans l’espace francophone à partir de 2010/2012, les "humanités numériques". Le réseau a favorisé, depuis treize ans, l’éditorialisation numérique en libre accès de travaux de recherche mais a aussi expérimenté dans la construction même du réseau et de son fonctionnement les nouvelles possibilités de travail scientifique, intellectuel, esthétique et didactique recourant aux technologies numériques d’information et communication. Aidé en cela par les activités et les compétences du programme hébergé "NumerUniv", depuis 2013, Terra-HN étend, en 2015, son domaine de recherche aux nouveaux objets d’étude portant sur le tournant numérique de la société, à partir d’approches diverses issues des arts, lettres, sciences humaines et sociales.
En se rebaptisant Terra-HN en 2015, le réseau explicite la dimension "humanités numériques" qu’il prend implicitement en charge depuis treize ans... sans préjuger des significations théoriques actuellement imputées à cette catégorie ni sous estimer les divergences intellectuelles que cet intitulé peut recouvrir. Terra-HN, dans la sillage de ses choix historiques, depuis treize ans, privilégiera les humanités numériques indépendantes, critiques, plurielles fondées notamment sur l’indépendance intellectuelle des chercheurs, le respect des auteurs et de l’auctorialité, l’esprit critique dans le traitement des enjeux, la compétence de production et de validation des contenus, la valorisation du pluralisme des points de vue & la valorisation de la controverse comme modalités essentielles aux recherches en arts, lettres et sciences humaines.
Marc Bernardot et Jérôme Valluy, « À la charnière des milieux académiques et des mobilisations sociales - Entretien des animateurs du réseau de recherche TERRA avec Alexander Neumann », Variations, n°19 | 2016, le 06 avril 2016 : http://variations.revues.org/768
Spécialisée sur le premier domaine, de 2006 à 2016, tout en s’élargissant thématiquement et en s’adaptant au monde numérique, la revue rebaptisée Asylon(s).Digitales entend, à partir de 2016, prendre en charge conjointement ces deux dimensions d’une mondialisation des échanges internationaux autant que des cultures et des modes de vie plus locaux, des constructions identitaires ainsi que des transmissions de savoirs, des évolutions politiques également, en continuant à travailler sur les thématiques premières du réseau Terra-HN tout en s’ouvrant aux "humanités digitales" ou "humanités numériques" ou "études digitales", dans une perspective humaniste, dont l’asile sociétal serait l’emblème et le pluralisme intellectuel la méthode, favorable à l’esprit critique et à l’analyse indépendante, l’un et l’autre caractéristiques des "humanités" modernes dans la diversité contemporaine de leurs domaines en arts, lettres, sciences humaines et sociales.
En 2016, quand le projet de la Collection HNP (Humanités Numériques Plurielles) voit le jour, les « humanités numériques » ou « humanités digitales » ou, plus largement, « études digitales » font l’objet d’une bibliographie scientifique limitée mais croissante, abondante depuis quelques années seulement dans l’espace francophone et moins d’une décennie dans l’espace anglophone. Elles font aussi l’objet de controverses, notamment en France, qui activent cette production éditoriale. La différenciation des syntagmes donne lieu à des débats qui sont intéressants et qu’il ne s’agit pas d’occulter… mais l’on retient ici le plus commun et le plus institutionnalisé pour englober ce que désignent les autres (au moins en partie), et introduire une réflexivité critique qui souvent fait défaut aux études tendanciellement labellisées en « humanités numériques ». Propulsé dans des réseaux de communication internationaux, scientifiques, administratifs, politiques et médiatiques, le label des humanités numériques oriente des politiques publiques (financements de recherches, de formations, de postes, de colloques, infrastructures et communications publiques...) aux finalités ambivalentes non seulement en faveur d’une nécessaire adaptation des chercheurs et enseignants, métiers de la culture au tournant numérique, à ses effets sociaux, mais aussi de réductions budgétaires, de contrôles socio-politiques, voire de marginalisation des études indépendantes et critiques. Sur le plan intellectuel, scientifique, philosophique ou esthétique, ce label des "humanités numériques" demeure néanmoins largement indéfini en ce qui concerne ses contenus et limites, comme domaine de recherche et d’enseignement, autant que peu structuré dans ses orientations théoriques ou philosophiques. La Collection HNP entend contribuer, de façon spécifique, à la définition du label en publiant des ouvrages relativement distants d’un conservatisme académique qui réduirait le tournant numérique à la seule perte d’un monde connu mais distant également des enthousiasmes politico-médiatiques, essentiellement acritiques, quant aux effets des technologies numériques sur les humains, leurs relations sociales, leur travail et leurs sociétés globales.
Présentation du dossier "Humanités numériques 3.0" dans la revue Multitudes n°59, juin 2015
"On commence à parler beaucoup d’« humanités numériques » pour désigner la façon dont la recherche en lettres, langues, philosophie, arts, histoire et autres sciences humaines utilise les nouvelles technologies numériques et étudie leur impact social et culturel. Ce dossier rassemble quatre contributions qui tentent de replacer ces questions et ces pratiques dans un cadre médiapolitique plus large : en distinguant trois strates au sein des humanités numériques ; en proposant un manifeste qui appelle les humanités à jouer un rôle actif dans le design, la mise en œuvre, le questionnement et la subversion des nouvelles technologies ; en repensant l’université autour de pratiques critiques de nos subjectivités en passe de devenir computationnelles ; en s’inspirant de l’archéologie des media pour proposer de nouveaux croisements entre recherche, arts et politique."
Présentation du dossier "Liberté, égalité, computer" dans la revue JSSJ n°10, juillet 2016
"Plus généralement, de l’ensemble de ce dossier, ressort une idée forte : pour une grande partie des opérateurs du monde numérique, un juste usage des données serait intrinsèquement lié à la manière dont on les élabore et on les communique. La transparence totale serait donc tout à la fois une fin et un moyen, devenant la norme du juste. Selon les textes rassemblés ici, cette thèse est éminemment contestable. L’examen des procédures numériques concrètement mises en œuvre montre dans certains cas que l’ouverture des données peut aboutir à la reproduction des inégalités (et des injustices) déjà existantes, dans d’autres cas à la production de nouvelles formes d’injustices.La transparence est-elle alors à considérer comme bivalente ? Côté face, elle est assimilée à la vérité et à l’émancipation, chacun pouvant potentiellement devenir acteur de sa propre vie numérique. Côté pile, elle est traçabilité, fichage, bureaucratie.Cette nature bivalente de l’information hantait déjà les débats politiques au tournant des années 1970, quand l’informatique centralisée (symbolisée par le géant I.B.M.) régnait encore en maître et que scientifiques et militants s’interrogeaient sur le rôle de la quantification pour la compréhension de (et l’action sur) la société. Bégaiement du débat sur lequel il est important de réfléchir quelques instants."
Articles choisis sur "Technologies, surveillance et identité" (enjeux anciens des nouvelles humanités numériques) dans la revue Cultures & Conflits de 2002 à 2016
Ce dossier est composé d’une sélection, réalisée par et pour Terra-HN, d’articles publiés en libre accès par la revue Cultures & Conflits entre 2002 et 2016 sur la rôle des nouvelles technologies dans le domaine de la surveillance et de l’identification des personnes et de populations, notamment étrangères ou plus généralement soupçonnées. Ces articles, parmi beaucoup d’autres de la même revue, sont susceptible d’abonder les corpus bibliographiques en cours de constitution du domaine émergent des "humanités numériques plurielles" et d’informer des recherches nouvelles sur la cyber-surveillance, la cybergouvernance et les atteintes aux libertés fondamentales.
Ya-han Chuang
Anne-Christine Trémon
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Terra-HN Éditions, Collection SHS, (V1) novembre 2020
Matthieu Renault
Pauline Vermeren
Hélène Le Dantec-Lowry
Marie-Jeanne Rossignol
Claire Parfait
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Terra-HN Éditions, Collection SHS, (V1) juin 2018
Gaella Loiseau
Laurent Viala
Dominique Crozat
Marion Lièvre
Grégoire Cousin
PUBLICATION WEB EN ACCÈS LIBRE
Terra-HN Éditions, Collection SHS, (V1) janv. 2016
Marc Bernardot
Arnaud Lemarchand
Catalina Santana
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
novembre 2014
Patrick Bruneteaux
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
mai 2013
Jim Cohen
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
octobre 2012
Arnaud Lemarchand
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
septembre 2011
Carol Mann
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
octobre 2010
Patrick Bruneteaux
Daniel Terrolle
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
septembre 2010
Hélène Thomas
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
février 2010
Julien Brachet
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
novembre 2009
Carolina Kobelinsky
Chowra Makaremi
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Editions du Croquant, Collection TERRA
mars 2009
Jérôme Valluy
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
janvier 2009
Marc Bernardot
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
octobre 2008
Marc Bernardot
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Editions du croquant, Collection TERRA
mars 2008
Jérôme Valluy
Jane Freedman
TEXTE INTÉGRAL EN ACCÈS LIBRE
Éditions du Croquant, Collection TERRA
novembre 2007