Les victimes d’un sinistre environnemental contraintes de quitter leur région de résidence habituelle pour survivre ont-elles besoin de protection internationale ou de protection sociale ? L’engouement actuel en faveur des "réfugiés environnementaux", dans un contexte de marginalisation du droit d’asile, favorise-t-il la protection de l’environnement ou celle des exilés ?